Femme mature nue

Femme mature nue : la page officielle de josette

Tu sais pas trop quels sont les avantages de baiser avec une cougar ?
Sauter une femme cougar (tape plutôt dans la grosse cochonne de 45 ans) c'est la garanti de pas perdre ton temps à la convaincre de faire ceci ou celà question cul.
Il suffit de lui demander ce que tu veux, si c'est pas elle qui t'avertit de ses préférences.
Alors tu fonce, le cul de la cougar t'attends en trépidant : - tu suces ? oui et j'avale mon poussin. - tu te laisses bouffer la chatte ? un peu mon neveu et le trou du cul aussi. - pourrais-vous enculer chère madame ? et ç'est par là que tu vas commencer mon petit, tu me gicleras dans l'anus et je nettoierais ta bite avec ma langue …

Une nuit avec ma vieille baiseuse

Cette jolie blonde cougar, ça faisait un moment que je la matais et que son petit cul de salope me faisait bander.
Mais surtout, je voulais savoir si il s'agissait d'une vrai blonde. Et pour cela il fallait que je vois sa chatte, et de près au cas ou elle se serait teint le minou la cochonne. Aussi, je l'invitais chez moi prendre l'apéro. Tandis que nous discutions sexe et je lui servait des longue rasade de Martini, je sentis cette petite salope qui s'échauffait. Je lui suggérait de dégrafer son corsage. Ce qu'elle fit et emportée dans son élan elle se mit entièrement à poil. Je la mattais, ses petits seins de cochonne aux tétons durcis et m'approchais de sa chatte. Elle écarta les jambes, dévoilant un sexe brun. Je ne lui en voulait pas, la cyprine qui suintait de sa chatte laissait augurer un agréable moment. Je commençait à lui lécher la chatte tandis mon doigt commençait à s'introduire dans son anus.…

UNE FILLE DE COUGAR SE TAPE LE JEUNE COPAIN DE SA MÈRE

Je sais qu'à vos yeux je passerai certainement pour une petite mijaurée sans intérêt. Et vous aurez raison car je manque cruellement d'expérience. Cela dit, ne vous méprenez pas sur mon compte. Évidemment, je suis jeune et tendre comme une pomme fraîche… Mais soyez assurés que les leçons de la belle Virginie porteront leurs fruits. Voici donc la suite du récit de ma rencontre singulière avec cette femme mature d'exception.
Une fois à l'intérieur elle me plaqua contre la porte, que j'avais refermée en toute hâte, et appuya son front sur le mien. Je ne pouvais plus me dérober à son regard de feu et à son désir que je sentais brutal. À cet instant précis, elle me révéla dans un souffle qu'elle souffrait, avec moi au cœur de la forêt, de ne pouvoir goûter mon corps. Elle me caressa la joue, fit descendre ses doigts le long de mon cou jusqu'à ma poitrine. Elle passa encore un doigt sur la pointe érigée de l'un de mes seins en inondant mon cou et ma clavicule de baisers tourmentés.
Je restai immobile lorsqu'elle glissa ses deux mains sous mon débardeur et qu'elle le souleva lentement, comme pour jouir un maximum de cette exploration. Elle prit mes mains dans les siennes et les plaqua au mur, très haut, pour admirer ma poitrine dénudée et en aspirer les dards. Nous perdions toutes les deux contrôle, mon esprit basculait dans une sorte de torpeur délicieuse et je me laissai bercer par ses mains expertes et avides, passive, en gémissant. Virginie s'agenouilla devant moi et tendit les mains vers mon ventre troublé tout en l'explorant aussi des lèvres. Mes mains, qui semblaient inertes jusque-là, répondirent enfin à l'appel de mon cerveau. Je les laissai vagabonder dans sa chevelure pâle et dense et sur ses fines épaules. Elle baissa ma jupe puis ma petite culotte, lentement presque cérémonieusement, avant de poser doucement ses lèvres sur mes poils pubiens. Mais déjà, elle était à la recherche de mes fesses. Elle les dénicha rapidement et me fit pivoter face contre mur. Elle leur fit tout ce qu'il était possible de leur faire : tantôt elle les caressait langoureusement en y apposant de légers baisers, tantôt elle les malaxait en les embrassant, les mordant et les léchant fougueusement. Dans cette position, mon excitation n'eut d'égale que mon embarras, mais en fermant les yeux et en laissant les mains de Virginie m'offrir toutes ces sensations, je réussis à me détendre à nouveau. Prise par un nouvel excès de passion, elle me retourna face à elle et, toujours à genoux, glissa sa langue sur les lèvres de mon sexe. Ma respiration s'accélérait toujours plus, au point où je croyais fermement que j'allais hurler. Et c'est bien ce qui arriva lorsque la langue de mon amante toucha mon point sensible. Mes mains se déchaînèrent dans sa chevelure toute ébouriffée, ses mains se refermèrent sur mes hanches qu'elle tenait à deux mains et qu'elle faisait bouger au rythme de sa langue...

Henri Miller - 12-07-2019

Les femmes matures n'ont rien à envier aux petites jeunes de 20 ans.